Chers tous,
Bienvenue dans l'édition #6 de Tête Chercheuse. Que vous m'accompagniez depuis le premier numéro ou que vous veniez tout juste de me rejoindre, merci de me lire.
Comme je vous l’ai annoncé il y a quinze jours, j’ai décidé de splitter ma newsletter en deux. Pour que ce soit moins long, plus agréable, plus structuré et plus régulier. Alors bienvenue dans le premier numéro d’Esthète de mule, où je partagerai désormais tous les objets trouvés et les curiosités qui ont titillé mon esprit le mois précédent. Ce que j’ai vu, lu, entendu, écouté, regardé, acheté, testé, goûté. Bref, tout ce que j’ai aimé.
Dans cette sixième édition, ma Tête Chercheuse vous dévoile tout ce qui m’inspire et tout ce que je trouve cool selon le mood du moment. 🧠 🔍
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Au programme :
Dans le coin de PTT
Dans mon écran
Dans le viseur
Dans ma sellerie
Dans ma peau
Dans le rétro
⌚ Temps de lecture : 9 minutes.
Dans le coin de PTT
Le mois prochain, mon petit PTT va (déjà) souffler sa première bougie. Pour l’occasion, je prévois de faire une édition spéciale de la newsletter Esthète de mule pour vous partager tout ce que j’ai trouvé indispensable pour un premier enfant. En attendant, voici quelques derniers achats pour lesquels j’ai craqué. Un bob kaki Babymocs, le sien était devenu trop petit. Un puzzle sonore Little Dutch, rapidement devenu son nouveau jouet préféré (j’avais remarqué qu’il jouait beaucoup, même seul, avec un puzzle dans sa chambre). Une tente anti-UV Babymoov pour jouer dehors, avec bâche de sol et moustiquaire. Très pratique, elle est très légère et se plie facilement. Elle s’emmène partout (jardin, plage, …). Et l’emmener, lui, partout, j’ai opté pour le porte-bébé de randonnée Osprey. Ayant des problèmes de dos, j’ai préféré mettre un peu de budget pour que mon fils et moi soyons conforts lors des balades/randonnées. D’ailleurs, lui l’aime tellement qu’il se met à pleurer lorsque je l’enlève du sac à dos… Ma tante lui a offert une doudoune sans manche déperlante et à capuche, très cool et parfaite pour cet hiver.
Dans mon écran
J’ai été un grand adepte de l’iPad pendant des années, puis j’ai fini par le délaisser avec l’évolution des iPhones. Je ne m’en servais plus du tout alors j’ai revendu le mien sur Backmarket. Mais depuis peu, j’avais très envie d’y revenir. Je voyais pas mal de personnes l’utiliser de façon professionnelle, quelques TikToks passaient dans mes Pour toi sur les différentes utilisations, notamment le dessin, et j’avais envie de pouvoir bouquiner facilement sans toujours me trimballer mes magazines.
Alors j’ai franchi le cap. J’ai investi dans l’iPad Air 11 pouces 256Go gris sidéral. J’ai pris wifi + cellular afin qu’il soit complètement indépendant (jamais je ne prendrais un iPad qui n’est pas cellular). J’hésitais avec le Pro et avec la taille supérieure., mais après avoir discuté avec des conseillers Apple, ils m’ont recommandé le Air, et mon Macbook étant déjà en 14 pouces, l’iPad 11 pouces me faisait une bonne alternative avec un écran bien plus grand que mon iPhone. J’ai pris le Pencil Pro pour pouvoir dessiner. C’est surtout pour dessiner les fiches techniques des produits que je conçois, pour envoyer au fabricant. Je pense que je vais gagner pas mal de temps, moi qui suis un autodidacte d’Illustrator il m’arrive d’y perdre un peu de temps. J’ai pris cette coque magnétique et des protections d’écran version papier pour ne pas l’abîmer avec le stylet. Toutes les vidéos que j’ai vues étaient unanimes sur cette finition. J’ai hésité à prendre le Magic Keyboard mais le prix m’a refroidi, n’étant pas certain d’en avoir le besoin. J’investirais peut-être plus tard.
Sur l’iPad, j’utilise beaucoup Cafeyn. Une appli à abonnement mensuel qui regroupe pas mal de journaux et de magazines. Elle est aussi disponible sur iPhone mais la lecture n’y est pas confortable. Hier, j’ai téléchargé Goodnotes. Une appli assez répandue et plutôt bien faite pour la prise de notes, même si elle ne remplacera pas mon traditionnel carnet Moleskine.
Dans le viseur
Ça y est. C’est le dernier jour. Cet été, on a vibré au rythme des Jeux. On a tremblé, on a eu peur, on a souri et pleuré même, parfois. Coup de coeur pour ces Jeux, beaucoup critiqués et accablés en amont. Je ne suis pas allé à Paris, ni à Versailles — à mon grand regret —, mais à Marseille, c’était génial. Ces Jeux ont apporté une toute autre dimension à la ville. Au delà de la dynamique, du sport, il n’y avait que des good vibes. Des sourires, partout, tout le temps. Des centaines de touristes étrangers qui parlent tout autant de langues, avec des maillots affichant fièrement leur pays. Ah, c’est ça que j’aime ! La marina olympique était bien faite, organisée et vivante. Juste en passant sur la Corniche, on pouvait entendre le speaker. Je ne saurais pas l’expliquer, ça active quelque chose en moi de vibrant. Des papillons dans le ventre , de l’adrénaline. Imaginer qu’il y a des personnes qui sont en train de jouer un titre Olympique, peut-être la plus belle réalisation de toute leur vie, ou au contraire, leur plus dure défaite. En somme, du beau sport, une organisation réussie et un climat de sécurité assuré. N’en déplaise à ceux qui ont pu dire le contraire.
Concernant les cavaliers, que de rebondissements ! Le complet d’abord, avec des obstacles fixes dans les jardins de Versailles. Quel cadre ! Et dire que certains se sont battus pour que les Jeux aient lieu à Lamotte-Beuvron… Et puis l’obstacle, par équipes et en individuel, avec son lot de déceptions, de surprises et de scénarios que personne n’a jamais envisagés. Sur les parcours subtiles, extrêmement bien construits et surtout jamais anti cheval de Gregory Bodo. Je n’ose même pas imaginer la douleur tyrannique que certains ont pu ressentir. Des rêves qui s’envolent après avoir passé tant d’années à travailler, se perfectionner, se remettre en question, avec tout le temps et l’argent que cela peut représenter. Mais c’est malheureusement la dure loi du sport. J’ai d’ailleurs appris que les 47 obstacles, construits par l’entreprise roumaine Alltot en seulement quatre mois, étaient proposés à la vente entre 3 700€ et 17 000€ pour les plus aboutis.
Chapeau bas à l’illustratrice Marie Sapin, qui n’a pas cessé de nous retranscrire ces Jeux grâce à son talentueux coup de crayon, son oeil incisif et son humour pointu. Marie fait d’ailleurs de superbes illustrations sur mesure et personnalisées selon votre histoire et vos envies. N’hésitez pas à aller jeter un oeil, ça peut être un chouette cadeau pour Noël !
Dans ma sellerie
En parlant équitation, j’ai finalement investi dans un air-bag. Cela faisait un moment que j’y pensais sans jamais franchir le cap. Une mauvaise chute m’a écarté des écuries pendant six semaines et m’a fait réaliser que cela aurait pu être bien plus grave, et surtout bien plus problématique pour mon quotidien. Je me suis donc (beaucoup) renseigné auprès des fabricants, des selleries (notamment Boutique Équitation, spécialisée dans les airbags) et des cavaliers pour orienter mon choix. Trop épais, trop chaud, trop encombrant, mauvais fitting, mauvaise qualité, mauvais SAV. Autant de marques que de problèmes. J’ai finalement opté pour le Concorde de Dada Sport, avec le gilet cover Goliath. L’airbag Helite Zip'in s’est démarqué dans tous les retours que j’ai eus. C’est justement la technologie utilisée par, entre autre, Dada Sport.
Pour le 14 juillet, Ottimo s’est offert une semaine de vacances au Haras des Trois Aiguières, une écurie de soins situé à Eyguières. Doriane est une ancienne groom de haut niveau et accueille des chevaux pour des vacances ou des convalescences. Elle propose des formules ou des prestations à la carte, 100% adaptées aux chevaux qu’elle reçoit : nébulisateur, cryothérapie, couverture massante, solarium, soins à l’argile, etc. Le tout dans un cadre de rêve, une écurie en plein coeur de la nature avec de grands près d’herbe verte (fait suffisamment rare dans le sud de la France pour le souligner). Ottimo a adoré et est revenu en super forme. Nous y retournons, sans hésitation !
Enfin, j’ai profité de l’été pour refaire un stock chez Karitale. Comme d’habitude, j’ai pris l’huile de soin pour les sabots et un baume blond. J’aime bien alterner les deux produits avec une application de 5 jours/7 en moyenne. 2 jours off pour laisser le sabot respirer. Ici les sols sont très secs, il est important de bien hydrater les pieds pour éviter qu’ils ne s’effritent ou ne se cassent.
Dans ma peau
J’avais vu un Tiktok d'une fille qui dévoilait son secret pour avoir des dents incroyablement blanches. Fun fact, les dents sont l’une des premières choses que je regarde chez une personne. J’aime les sourires des américains, ultra white avec leurs facettes. Beaucoup trouvent ça horrible. Pas moi. Du coup, j’ai acheté ce fameux dentifrice Marvis spécialement pour les fumeurs (alors que je ne fume pas).
Pour continuer la série Tiktok, je me suis laissé influencé par le secret de Béyoncé et Meghan Markle (oui oui, je suis une grosse victime). L’aquaphore d’Eucerin. C’est très simple, très clean et pas cher. Je ne l’ai pas vraiment utilisé car je m’en suis finalement servi pour mon fils qui a la peau sèche avec un peu d’eczéma. Et ça a très bien fonctionné d’ailleurs. Et enfin, je suis en train de développer une addiction aux pastilles Hydratis. Je ne bois jamais assez lorsque je suis chez moi (je n’y pense pas, sauf pendant les repas), et avec la canicule, c’est le petit coup de pouce parfait.
D’ailleurs, l’été dernier en Californie, tout le monde avait sa gourde Stanley, tout le temps. Je me suis dit que c’était une bonne solution pour boire régulièrement donc j’en ai acheté une à Palm Springs. Je la prends dès que je vais quelque part car elle garde le froid très froid et le chaud très chaud. Pour la petite histoire, ces gourdes sont devenues célèbres à la suite d’une vidéo virale qui avait été postée. Je crois qu’une dame filmait sa voiture qui avait brûlé, où tout était brûlé voire carbonisé. Tout sauf sa Stanley. Le phénomène a très vite pris et les américains le déclinent avec tout un tas d’accessoires, un peu comme ils font avec leurs crocs.
Il est 23h17. Je termine cette newsletter avant de prendre mon hydratis et de monter le vlog des vacances d’Ottimo sur mon iPad, puis commencer ma routine du soir (dans ma précédente newsletter à lire ici, j’explique pourquoi je détestais les routines et comment j’ai appris à les apprécier désormais) et terminer en écrivant quelques mots sur mon carnet Goodnotes.
Vous m’en direz des nouvelles,
AC
Dans le rétro
Et parce que depuis que j’ai eu trente ans je me dis que c’était mieux avant ; il y aura bien évidement, à chaque fin de newsletter, un petit clin d’oeil pour que l’on regarde ensemble dans le rétro (c’est le nom de ma playlist vintage sur Spotify). Comme un petit PS, un shoot de good vibes. Une petite piqûre qui viendrait dire “Hey toi, tu vieillis grandis tu sais !”. (Petit clin d’oeil à Pauline Basquin et sa superbe RLM aux Jeux !)
Si quelque chose vous a interpellé ou si vous avez simplement envie de partager votre avis, n’hésitez pas à m’envoyer un message sur instagram ou en commentaire ci-dessous.
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